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Pour sa première exposition personnelle dans une institution parisienne, Éric Baudart présente un ensemble de pièces qui témoignent d’une pratique instinctive constante où se combinent jeux de matière, texture, reflets, illusion et détournement. Ainsi la « grande déchirure » (Big Rip), ce modèle cosmologique prédisant que la densité de l’univers se mettra à augmenter avec le temps, trouvera un écho tout particulier, d’une part dans le choix des œuvres, d’autre part par leur mise en tension à la Fondation d’entreprise Ricard.

Un projet de la Dena Foundation for Contemporary Art en collaboration avec le Settore Tempo Libero de la Ville de Milan, de Vleeshal à Middelburg, la Fondation d’entreprise Ricard à Paris
Une exposition de Francesca di Nardo avec le co-commissariat de Lorenzo Benedetti
Sous le patronage de l’Institut de culture italien de Paris.

Après Brasilia et Chandigarh, Louidgi Beltrame prolonge sa cartographie personnelle et poétique de l’architecture moderne sur le territoire de l’ex-URSS.

La Fondation d’entreprise Ricard accueille l’exposition Monsieur Miroir du 21 septembre au 6 novembre 2010. Les lauréats sont: Isabelle Cornaro et Benoît Maire.

La Fondation d’entreprise Ricard expose et met en vente de manière exceptionnelle 10 ans de production cneai = . Cinquante artistes sont représentés par leurs éditions et publications : multiples, gravures, vidéos, livres d’artistes…

Le miroir noir, instrument d’optique datant de la Renaissance réalisé en appliquant une feuille noire derrière une plaque de verre, était utilisé par les peintres notamment pour composer un tableau. Il reflète un paysage ou un objet que le peintre souhaite peindre, mais son reflet atténue couleur et profondeur ce qui permet de composer plus aisément.

Construite sur des réminiscences de la Préhistoire et avec des outils apparentés au spectacle, «Paléorama» est une sorte d’exposition paléontologique qui s’articule autour d’installations vidéo.

« L’art détient sur nous-mêmes un savoir qui excède tout autre, et ce savoir est conformé comme un dessin, non comme un langage.»
Jean Luc Nancy, extrait de Le plaisir au dessin, Editions Galilée, p 63.